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Tahiti Iti from Marius Von Rostï on Vimeo.
Si Sandra Lévy Agamy Manutahi (SLAM) parle français, et maîtrise la langue de bois, il semble qu’elle n’est pas du tout bilingue en finances publiques et a la mémoire qui flanche. En effet qu’une représentante élue, jeune, diplômée, et prétendant incarner la« relève », essaye de faire oublier son score calamiteux des dernières élections en ajoutant l’amnésie à la démagogie, c’est inquiétant.Tout d’abord, revenons sur ces fumeux « 25 milliards qui dorment ». Le montant est erroné. 10 de ces 25 milliards concernent des écritures d’ordre, qui relèvent uniquement de la technique comptable, et n’engendrent aucune dépense, ni investissement.Restent donc 15 milliards de dépenses réelles d’investissement reportés, qui correspondent à des travaux réalisables.Chaque année 15% au moins sont reportés de manière systématique. Les entreprises clôturent leurs comptes au 30 novembre. Les travaux du mois de décembre et ceux de novembre non encore consolidés font donc l’objet d’un report technique sur l’annéesuivante. Cela représente au bas mot 2 milliards. On passe à 13 milliards.Quand on rappelle que 2011 a été l’année de tous les blocages par l’Etat UMP, avec la seconde tranche du prêt AFD débloquée uniquement en décembre et le 3ème instrument financier démarrant au 1er juillet au lieu du 1er janvier, il faut une mauvaise foi particulière pour ne pas comprendre que ces reports étaient nécessaires et normaux.Elue depuis 2008, on aurait pensé que SLAM avait eu largement le temps de se former à la lecture des documents budgétaires. Une cure de magnésium devrait rappeler à l’ex pom-pom girl de GTS, et nouvelle groupie de Gaston Flosse qu’elle avait sans battre un seul cil voté 31 milliards de report en 2008, 25.7 milliards en 2009, 17.7 en 2010, 18.3 en 2011… A comparer aux 15 milliards de cette année dont elle juge bon de se scandaliser.Il faut interroger SLAM sur cette « amnésie ». Mais que fait-elle à l’Assemblée ?Quand travaille-t-elle ? Est-ce de l’insouciance ? De l’incompétence ? Ou pire, une volonté délibérée de faire prendre au Peuple et à la Presse des vessies pour des lanternes ?Te aroha ia rahi.
Après une 1ère phase de communication dans les médias au mois de mai, le projet s’est recentré sur l’étude approfondie de deux options :
- Option n°1 : rachat de la réplique existante
- Option n°2 : construction d’une nouvelle réplique.
L’option n°1 nous paraît à écarter compte tenu des coûts d’entretien très importants pour un navire de cet âge (1961) et de cette structure (coque entièrement en bois de chêne).
L’option n°2 nous semble à privilégier car elle permettra sur le long terme de réduire les coûts d’exploitation car le navire sera neuf, construit sur mesure selon les normes en vigueur et avec des matériaux de construction plus adaptés.
Le chiffrage de l’option n°2 est la prochaine étape sachant que la construction du navire sur le fenua est également à l’étude et serait un atout supplémentaire (créations d’emplois, attraction touristique avec des visites du chantier naval…).
Nous travaillons également sur le logo de la « Bounty Tahiti » et nous serions ravis d’accueillir vos idées ou propositions sur ce sujet.
L’équipe de la Bounty Tahiti.