Le numéro des vingt ans du magazine TAHITI PACIFIQUE est en vente.
L'occasion pour le Tahiti Herald Tribune, ce petit blog au nom si pompeux, de se faire tout petit face au magazine qui, tel le roseau de La Fontaine a souvent plié sous les menaces et les assignations, mais n'a pas rompu et est toujours là vingt ans plus tard.
Un magazine d'utilité publique qui a dénoncé avec courage tant d'abus et de magouilles, avec un travail d'investigation d'autant plus exemplaire que ses roues étaient bâtonnées dans un contexte où l'information était bétonnée.
Donc chapeau Alex, merci au nom de tous les lecteurs et JOYEUX ANNIVERSAIRE.
Ci-dessous le reportage que Brigitte Ollivier de Polynésie Première lui a consacré cette semaine.
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7 commentaires:
Yo Alex
Bravo, merci et longue vie.
TP c'est comme le THT si ils n'existaient pas il faudrait le faire de suite. Longue vie pour la démocratie....et nous divertir.
Bravo à Alex et longue vie à notre Canard enchainé local. Suis d'accord avec TEV, s'il n'existait pas il faudrait de suite l'inventer.
C'est incontestablement un fouille-merde notre cher Alex, comme ses célèbres collègues Bob Woodward et Carl Bernstein (le Watergate souvenez-vous) car c'est seulement en fouillant dans la merde que on y trouve des personnages qui aiment y nager...en apnée...
Bravo Alex
Alex duprel est un homme exemplaire. Originaire des états-unis il a beaucoup voyagé dans les îles et il en est tombé amoureux. Il a construit et géré le yacht club de Bora bora. Il a été directeur de l'atoll de Tetiaroa et il fut un très bon ami de Marlon Brando.
Bravo à lui pour tout ce qu'il a achevé. Pour son travail d'investigation, ses coups de bluffs. Ses livres, "le bleue qui fait mal aux yeux" est toujours bestseller de Tahiti je crois.
PS : Des rumeurs court qu'il voudrait vendre le magazine. Lolo, interessé ?
c'est extrêmement flatteur de penser que je pourrais prendre la suite d'Alex (si ce n'était pas une vanne), mais c'est un métier...
Je ne suis qu'un blogueur amateur...
Rien de comparable avec le vécu, le culot, la ténacité et le talent d'Alex...
C'est sur que devenir rédacteur du Tahiti Pacifique c'est un gros défi... c'est à faire avec une équipe.
Mais Alex n'est pas éternel, il prendra sa retraite un jour ou l'autre.
Assurer la relève d'un type pareil n'est vraiment pas aisé. Espérons que le "canard enchainé" local et l'activité d'Alex vivent encore longtemps.
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