jeudi 12 mai 2011

Emplois fictifs, the movie !

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Elle est pas passée dans LA DEPECHE dimanche dernier celle-là, donc je la mets en ligne... ça reste d'une actualité brûlante...
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6 commentaires:

Anonyme a dit…

"ça reste d'une actualité brûlante..." huuum, Lolo, ... ta "brûlante..." qui va se refroidir peu à peu et se dégonfler comme un ballon de baudruche COMPLETEMENT le 4 octobre prochain, au délibéré. Parce que de fictif, il n'y en a pas eu ! et le tribunal ne va quand même pas juger sur du légal et virtuel ! C'est ThoTho, envoyé ici et payé pour "rentrer dans le chou", et Me Boussier arrosé grassement de FCP publics, qui seront la risée publique ! Nano

Kip a dit…

Censure ?

Erimaboyz a dit…

à tort et à travers...

brad a dit…

Yo
Trouvé qq part:
"Quand on remue la merde ça pue."

Vera tane a dit…

J'ai bien l'impression que nous allons assister à un jugement fictif de notre tribunal local.

Anonyme a dit…

Considérant que le cas de M. Justin ARAPARI a démontré clairement la "technique" répréhensible des emplois fictifs au sein d'une administration - quelle qu'elle soit d'ailleurs - le nombre de contrats ciblés dans cette affaire dépasserait les 600 selon la presse. Réputés donc actifs à une même époque ?

Ce qui implique, à quelques exceptions près, que l'administration dispose de modèles de contrats-type, qui sont complétés par du personnel, disposant d'ordinateurs, des éléments particuliers à chaque recrutement : lieu d'affectation, catégorie, poste, imputation budgétaire, date du début des fonctions, etc.

Il aurait été plus intéressant de publier le modèle type vierge du contrat utilisé pour ce personnel afin que tout un chacun puisse apprécier sa "visibilité" finale lorsqu'il part dans le circuit à la cueillette des signatures...

Un signataire ne vérifiera que la conformité du texte avec la législation du travail en vigueur et/ou de la disponibilité prévisionnelle des fonds à l'imputation budgétaire visée. Il ne peut connaître par avance, ni préjuger, d'un agenda dissimulé quant à la réalité du travail qui sera exécuté suivant d'éventuelles directives divergentes. Cette responsabilité relève de son employeur direct, et seul le bénéficiaire peut le dévoiler.

On en déduit que les 2 milliards et quelques calculés et réputés remboursables concerneraient l'ensemble des contrats émis : où sont les 500 et quelques autres personnels non cités à la barre ? Et pourquoi ?