lundi 31 décembre 2007

Build-a-bear : donnez "la vie" à un nounours !


Il doit y avoir en moi un côté Frankenstein, mais aussi un éternel gamin...
Pendant les vacances, j'ai découvert un magasin extraordinaire avec mon fiston : BUILD-A-BEAR WORKSHOP.
Il s'agit d'une chaîne de magasins dans lesquels votre enfant (ou vous-même) peut fabriquer son nounours, la peluche de ses rêves.
On commence par choisir la "peau", un ours, un chat, ou tout autre animal.
Puis on le bourre de peluche grâce à une grosse machine qui fait tourner la matière dans un gros tambour transparent comme une machine à laver.
Evidemment, vous choisissez si vous préférez un nounours pas trop rempli et donc un peu mou, ou, au contraire, rempli de peluche à ras bord et donc plus ferme.
Petit détail touchant : avant que l'employée de Build-a-Bear ne procède à la couture finale pour refermer le corps du nounours, vous insérez à l'intérieur un petit coeur rouge en feutrine, en n'oubliant pas de faire un voeu.
Donc les nounours ont un coeur, pour ceux qui en doutaient.
On peut aussi insérer dans le teddy bear une petite puce électronique avec un son : battement de coeur, phrase genre "I love you", etc...
Evidemment, ça ne s'arrête pas là puisqu'on s'aperçoit ensuite que le reste du magasin est une immense boutique de fringues pour nounours...
Si vous n'êtes pas sensibles aux ours en peluche, passez votre chemin, parce que ces magasins sont des temples dans lesquels on devient complètement gagas : des parents s'écrient "oh my god, it's so cute" en boucle, tandis que des troupeaux d'enfants rentrent dans un état d'excitation avancé assez spectaculaire.
C'est le vieux nounours de mon fiston qui a été très surpris d'avoir un tee-shirt en cadeau !

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2008

Je me sens un peu comme Sarkozy aujourd'hui, et croyez-moi c'est plutôt rare.
Je veux dire par là que je n'ai pas envie de chercher l'originalité dans mes voeux.
Président nous l'a joué vraiment "vieille école", alors qu'on entendait dire qu'il allait dépoussiérer les traditions des voeux Elyséens.
Je pensais qu'après quelques jours en Egypte avec Carla B., il apparaitrait bronzé, détendu, relax take it easy, en polo, avec un gros plan au départ et puis un final en zoom arrière où il nous aurait présenté officiellement Carla, genre "on va se marier au mois de Juin, on est super heureux..."
Et puis non.
Enfin bref, on s'en tape.
Puis, dans un supermarché bondé, ce matin, alors qu'il était quand même très tôt mais qu'il y avait déjà la foule, deux copines discutaient du contenu de leur réveillon :
"oh non, ça va faire trop !" disait l'une d'elles en reposant du saumon fumé.
Du coup, en ces périodes de ripailles, d'abus et de gâchis, je me sens aussi comme une Miss Berry (ou Miss Languedoc, je n'ai rien contre le Berry), à qui on demanderait son voeu le plus cher et qui répondrait "je voudrais la paix dans le monde, qu'il n'y ait plus de guerre, et qu'il n'y ait pas d'enfants malheureux, ni de personnes âgées délaissées, et que l'on respecte la planète, et que même la drogue c'est mal, et sortez couverts...".
Je voulais donc vous souhaiter 365 jours de bonheur, de tendresse, de paix, de santé, de gaieté, d'amour et d'abondance, et puis non, je ne peux pas.
Vous savez pourquoi ?
Parce que 2008 est bissextile !
Donc je vous souhaite tout ça, et plus encore, mais pour 366 jours !
Et puis, ce que j'ai trouvé qui résume le mieux mon état d'esprit du moment, c'est ce dessin de LAUREL, trouvé sur son blog, que je vous invite à visiter si vous ne le connaissez pas encore.
Quelques coups de crayon valent finalement mieux qu'un long discours...

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samedi 29 décembre 2007

Mail d'une employée du Tahiti Herald Tribune à la Direction


De : Patricia (patricia@tahitiheraldtribune.com)
A : Lolo - redacteur en chef (loloredacchef@tahitiheraldtribune.com)

Objet : Vente journal Paris

Patron,
J'ai bien reçu les tee-shirts du journal que je porte fièrement en distribuant le journal à Paris comme vous me l'avez demandé.
Vous aviez raison, les Champs Elysées c'est assez fréquenté, et je croise beaucoup du monde.
Par contre, il m'arrive de me faire draguer, et notamment par celui que j'appelle "le jeune homme au chapeau", qui vient me prendre le journal presque tous les matins.
Il s'appelle Michel Poicard me dit-il.
Je vous envoie une photo faite par des touristes japonais.
Sinon Tahiti me manque.
Je vous souhaite un bon réveillon
Happpy new year boss
Yours trully,

Patricia


De : Lolo - redacteur en chef (loloredacchef@tahitiheraldtribune.com)
A : Patricia (patricia@tahitiheraldtribune.com)

Objet : RE : Vente journal Paris

Chère Patricia,

Merci pour ces nouvelles.
Le tee-shirt te va très bien, quelle élégance.
Par contre, tu as le droit de mettre une veste ou une doudoune !
Je ne crois pas que la météo soit si clémente à Paris.
Ca n'a pas l'air de te déplaire dis donc, mais c'est ta vie privée, cela ne me regarde pas.
Mais ce Poicard, ça me dit quelque chose, je ne sais pas si il a bonne réputation.
En tout cas, félicitations pour ton français, aucune faute : pour une américaine, je suis épaté par tes progrès.
Profite bien de Paris, ici il fait un temps dégueulasse
Bisous

LOLO REDAC CHEF

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De : Patricia (patricia@tahitiheraldtribune.com)
A : Lolo - redacteur en chef (loloredacchef@tahitiheraldtribune.com)

Objet : RE : RE : Vente journal Paris

Patron,

Qu'est-ce que c'est "dégueulasse" ?

Patricia

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vendredi 28 décembre 2007

Spams 2008, la tendance automne-hiver

Petit retour en arrière des tendances "spam" (ou "pourriels") de ces dernières saisons :
- les propositions d'achat de viagra de contrebande,
- les cotations de bourse sur telle ou telle action,
- les offres d'achat de logiciels pirates à bas prix,
Pour se renouveler, le Siège de la SPAM INDUSTRY CORPORATION (s'il existe) profite de la période des voeux pour inonder la planète de messages de bonne année en provenance de parfaits inconnus.
Ce matin, quatre messages de ce type, qui proposent un lien vers un site du genre happynewyaer2008.com sur lequel je ne cliquerai jamais.
Alors, devinons un peu la prochaine tendance...
Un truc lié aux jeux olympiques tiens ! des propositions de voyage + hôtel + places dans les stades pour les J.O. de Pékin dans quelques mois à des prix imbattables, voilà une idée...
On verra bien.
Je ne vous souhaite pas encore une bonne année...

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jeudi 27 décembre 2007

HD DVD ou BLU RAY ? La guerre de l'image haute-définition...

Il y a comme ça, dans la vie des choix cornéliens qui se présentent :
- slip ou caleçon ?
- savon ou gel douche ?
- Air France ou Air Tahiti Nui ?
- diesel ou sans plomb ?
- Flosse ou Temaru ? (la réponse "ni l'un, ni l'autre" est admise)
- Coca ou Pepsi ?
- Mac ou PC ?
Le dernier en date pour ce qui me concerne, celui qui touche les DVD haute définition puisqu'il faut choisir entre le format HD DVD ou le format BLU RAY.
Ne soyons pas dupes, c'est évidemment une question de très gros sous entre les firmes Toshiba (HD DVD) et Sony (Blu Ray).
Petit retour en arrière pour situer les choses...
Si vous avez plus de vingt ans, vous vous souvenez sans doute de la guerre des cassettes vidéo : le format VHS avait écrasé le Betamax (de Sony, pourtant réputé pour une meilleure image), sans parler du V2000 totalement tombé dans l'oubli, qui était la seule cassette "double-face" lancée par Philips.
En bon cinéphile, je me souviens avoir accumulé des centaines de cassettes VHS où je stockais des films enregistrés à la télé, les ciné-clubs, les cinémas de minuit, les dernières séances d'Eddy Mitchell et Gérard Jourd'hui.
Je revois ce placard où les cassettes étaient rangées, numérotées, avec le cahier répertoire minutieusement tenu qui m'indiquait tout de suite que la cassette n° 78, avec le film FREAKS de Tod Browning n'était pas à sa place, puisque je l'avais prêtée à tel copain.
Puis arriva le gros laserdisc, plus épais, plus gros qu'un 33 tours, assez lourd, que je me suis mis à collectionner. Révolutionnaire au niveau de l'image. Très encombrant, assez fragile, et alourdissant considérablement les valises quand j'en ramenais une dizaine de France jusqu'à Tahiti, dont le climat humide était fatal aux vieilles VHS qui se mettaient à moisir irrémédiablement.
Puis c'est le raz-de-marée DVD. Hyper léger, compact, meilleure image encore que le laserdisc et puis surtout tu peux te passer ton film américain en V.O. et le montrer ensuite à ta chérie en V.F., tu peux faire des arrêts image impeccables...
Je m'étais fait pas mal chambrer avec ma collec' de laserdiscs, que j'ai pourtant réussi à refiler à un fou par le biais d'un dépôt-vente. L'acheteur avait eu un lot platine + disques à bon prix mais n'avait pas remarqué qu'ils étaient presque tous en V.O. non sous-titrés...
Bref tant pis pour lui, j'avais de quoi démarrer ma collec' de DVD avec l'argent de la vente.

Et donc c'est reparti mon kiki, la technologie évolue, les écrans deviennent énormes et forcément la définition du DVD classique perd en finesse avec un écran de 42" ou plus.
C'est l'une des raisons de l'avènement de ces disques en haute définition.
Sans être spécialiste, la différence avec un DVD normal est vraiment saisissante, surtout si vous avez un bon écran et une liaison par câble HDMI : les textures de peaux, les finesses des matériaux, les films d'animation en images de synthèse... c'est un pur bonheur.
Donc, perso, j'ai opté pour le BLU RAY, avec comme platine la Playstation 3, véritable bijou, où même les jeux prennent réellement une autre dimension.
Je ne peux pas donner conseil parce que bien malin celui qui pourrait prédire l'issue de cette guerre des formats...
Disons que, d'après le site dvdempire.com, le blu ray représente environ 6 achats sur 10 de DVD haute définition contre 4 pour le HD DVD
Pendant les vacances aux U.S.A., j'ai vu une nette prépondérance du Blu ray, question de marketing.
Mais on annonce que Toshiba lancerait une platine très peu chère pour booster ses ventes de HD DVD...
Et il faut aussi savoir que des studios ont signé des accords avec l'un des deux formats : par exemple les films Paramount sont distribués seulement en HD DVD donc là je l'ai dans le baba...
L'interactivité semble être plus poussée également dans le HD DVD mais je trouve qu'on trouve plus facilement des blu ray...
Bref, déjà je n'achète plus un seul DVD normal (j'ai l'impression de voir une vieille VHS), je ne regarde plus de DIVX (carrément une punition) et je vais même commencer à remplacer certains de mes films préférés par des versions haute définition comme ce fut le cas avec mon premier blu ray : LES AFFRANCHIS de Scorsese avec Robert De Niro, Joe Pesci, Ray Liotta... quel bonheur de le voir, revoir, avec une si belle image, un son si pur...
Bon allez, quand même, je me mouille : je prédis l'avènement du blu-ray, parce que ça m'étonnerait que Sony renouvelle sa méga boulette de l'échec du betamax.
Voilà, c'est dit, comme ça on rigolera bien dans quelques années quand on relira ces lignes.
Et l'avenir alors ?
Des murs d'images comme dans TOTAL RECALL ou MINORITY REPORT sans doute, des définitions encore plus évoluées et des stockages optimisés (dans une carte mémoire grosse comme un ongle, vous aurez l'intégrale de Bogart en remastérisé)
Ce soir j'ai la fin de DELIVERANCE de John Boorman à regarder...

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Mort de Benazir Bhutto

En ouvrant mon ordi et en consultant ma page d'accueil qui me donne, tous les matins au réveil, les infos de notre drôle de monde, je découvre aujourd'hui qu'un attentat suicide a coûté la vie à Benazir Bhutto (et 16 autres personnes quand même...) dans l'est du Pakistan.
Dans ce blog, où il sera souvent question de plaisirs épicuriens, du dernier jeu playstation 3, ou autres futilités comme la dernière tendance marketing chez COCA, je veux juste dire qu'il y a aussi des évènements qui me scotchent et me perturbent.
Je mesure véritablement chaque jour le privilège de vivre à un endroit et une époque à l'abri des conflits majeurs.
Je voudrais que mon fiston en soit conscient également.
Je ne sais pas toujours comment aborder certains sujets parce que je sais que je vais tomber dans le style "café du commerce" (ah ben oui, tu te rends compte, Ingrid Betancourt, ça fait 6 ans qu'elle est otage... ça passe vite... et la petite Maddy t'as vu, toujours pas retrouvée... et t'as entendu ce qu'on dit sur ses parents... etc... etc...)., ça ne sera pas constructif, et sans doute pas intéressant.
Je ne ferai qu'enfoncer des portes ouvertes.
En parler c'est sans doute me donner bonne conscience l'espace d'un instant.
Si je suis aussi interpellé et concerné que je le prétends, je n'ai qu'à faire de l'humanitaire et aller mouiller ma chemise sur le terrain.
Donc j'assume au moins mes paradoxes et mes contradictions.
Je ne pourrais pas faire 30 lignes sur cette femme dont je sais seulement qu'elle voulait que son pays aille dans la voie de la démocratie et qui est définitivement tombée dans un piège terroriste.
Depuis, les dépêches d'agence de presse indique que le pays semble sombrer dans le chaos...
Pendant ce temps Aung San Suu Kyi est toujours enfermée en Birmanie.
Et Ingrid Betancourt (qui vient d'avoir 46 ans) ne fera sans doute pas partie du "lot" des trois otages que les FARC colombiens seraient sur le point de libérer...

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mardi 25 décembre 2007

Noël 2007 - Coca Cola Tahiti

A Tahiti, le look Noël des affiches et canettes de COCA est un peu plus élaboré que l'an passé. Toujours le même père Noël joufflu caractéristique mais un ensemble de petites bulles / boules de Noël reprenant l'iconographie classique des vieilles pubs de la marque. Donc rien de local, c'est même limite tristounet. Aucune fantaisie, pas d'ours blanc, aucun clin d'oeil... Plutôt décevant en fait. Une couleur dorée par exemple, aurait été bienvenue pour bien faire la différence et améliorer l'esthétique et l'originalité.
Autant COCA avait fait très fort avec les séries limitées TEAHUPOO 2007 (avec une série de 4 canettes locales pour le COCA CLASSIC et 2 pour le LIGHT), autant on a l'impression qu'ils ne se sont pas foulés pour ce Noël qui est bien à l'image de la morosité ambiante finalement...
Ci-dessous un panneau géant panoramique à Pirae

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Expo Photos "Augustus Frederick Sherman : Ellis Island Portraits 1905-1920"

Hélas, l'expo se tient à Paris, mais c'est un coup de coeur...

C'est une sélection de photographies prises de 1905 à 1920 par Augustus Frederick Sherman, employé administratif à Ellis Island, des portraits somptueux qui témoignent à la fois de la fascination de Sherman pour les nouveaux arrivants ainsi que des tensions xénophobes à l’œuvre à l’heure où l’image participait à la classification des races et des types...
Située face à la ville de New York dans l’Etat du New Jersey, Ellis Island fut le lieu de transit où débarquèrent, de 1892 à 1954, douze millions de migrants. Devenue à la fois symbole de l’immigration américaine, aujourd'hui monument historique et musée.
Photographe amateur, Augustus Frederick Sherman décide de photographier certains des nouveaux arrivants, candidats à l’immigration. Il met en scène chaque cliché, photos de groupes, de familles, d’enfants et, dans ses portraits, les immigrants apparaissent souvent vêtus de costumes traditionnels. Ses photographies ont été réalisées alors qu’un vif débat sur l’immigration agitait toute la sphère politique nord-américaine. L’œuvre de Sherman participe autant du désir de saisir l’événement et de le peindre, que d’une volonté politique de classer et répertorier les migrants par races…


Les portraits de ces deux jeunes femmes me bouleversent.
L'intensité de leurs regards à travers lesquels on peut imaginer aussi bien leurs craintes que leurs espoirs, est envoûtante, comme si elles interpellaient l'Humanité entière par delà les années.
Ces photos ont quasiment 100 ans ! Quelles vies ont eu ces deux femmes anonymes incroyablement belles ? Sont elles devenues mères, grand-mères ? Ont-elles vécu très longtemps avec une nombreuse descendance ou ont-elles été terrassées très jeunes par je ne sais quelle maladie ?
Elles sont aux portes du rêve américain. Vont-elles les franchir ?
Evidemment ça évoque instantanément des films comme AMERICA AMERICA d'Elia Kazan, ou LE PARRAIN 2 de Coppola, ou encore IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE de Sergio Leone...

Site officiel de l'exposition, cité nationale de l'Histoire de l'immigration, Paris 12ème, jusqu'au 13 janvier 2008
Le livre des photos de l'expo, sur AMAZON

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Noël 2007 - Coca Cola U.S.A.

Depuis que la firme d'Atlanta a imposé la couleur rouge au costume du Père Noel, les gens de chez COCA font comme chez Ducros : ils se décarcassent pour trouver des visuels nouveaux à chaque nouveau Noël.
Cette année, aux U.S.A., j'ai vu fleurir le slogan "give live love", et la réédition pour les fêtes de bouteilles en verre de 1899, dans un packaging commémoratif rétro. Evidemment, j'en ai ramené 2 exemplaires pour ma collec'...

Un joli trône de Santa Claus composé de packs de canettes dans un magasin Publix, ci-dessous...

Et puis l'étiquette de la bouteille de COCA Classic de 2 litres, où l'ours blanc côtoie Papa Noël

Bientôt les images de COCA à Tahiti pour Noël, et si vous trouvez des canettes, des bouteilles collectors, des images originales sur le COCA, je suis preneur, j'achète !
Et pour ceux qui ne connaissaient pas cette passion chez moi, je les invite à aller voir mon autre blog COKE AND MOVIES, consacré aux apparitions du COCA dans les films...

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dimanche 23 décembre 2007

La chanson des vacances : "crush crush crush" - Paramore

Coup de coeur pendant les vacances pour une chanson qui m'a immédiatement séduite : "crush crush crush" du jeune groupe Paramore.
Je ne sais pas si la vidéo passe sur les chaînes musicales françaises mais il y a un gros tube en puissance dans cette chanson musclée qui me fait penser à Fall Out Boys, The Donnas ou Superbus.
Je sais juste que Paramore avait fait une chanson pour un des trois films Spiderman.
J'aime beaucoup.
Et vous ?

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Histoire de lapin spatial

Le 6 décembre dernier était annoncé comme un grand jour : il y avait un lancement de la navette spatiale prévu à Cape Canaveral, depuis le Kennedy Space Center, en Floride, à 16:43, et nous y étions !
Arrivés dans la région la veille depuis Miami, j'avais prévu de faire un tour à Daytona Beach le matin, de passer tout près de l'imposant circuit automobile où se jouent de magnifiques courses du NASCAR, et d'aller se ballader sur la célébrissime plage, où les véhicules sont autorisés. On y a loué un petit quad pour faire des kilomètres sur cette côte atlantique à perte de vue. En chemin, on a aussi loué un vélo pour Fiston et nous cheminions cheveux au vent sur ces étendues ensoleillées battues par un petit vent sympathique. En rendant le quad de location j'annonce fièrement au loueur que l'on va doucement se diriger vers notre point d'observation pour assister au décollage d'Atlantis... et le petit gars dans sa guitoune me dit "c'est pas reporté le décollage ?". Je lui dis que non, qu'à l'hôtel, avant de partir, on voyait que l'évènement serait retransmis en direct à la télé, que le compte-à-rebours était enclenché, et que donc on y allait. Mais il avait raison ! Le décollage était reporté au lendemain, les confirmations s'enchaînaient, la NASA me posait bel et bien un lapin...
Pour mon fils, ce n'était pas un drame. Pour moi, c'était quand même une grosse déception. Dire que c'est un rêve de gosse qui s'évanouissait serait exagéré... quoique.
Et donc, pour faire la route du retour vers Orlando où nous avions notre hôtel, je décidais de passer quand même par Titusville, et plus précisément par le Space View Park, petit spot d'observation réputé idéal pour être aux premières loges lors des lancements. J'ai quand même pris cette photo ci-dessus pour ramener piteusement un petit quelque chose. En effet, la situation était idéale... On y voit très bien l'imposant bloc carré du Vehicle Assembly Building, et pas grand chose d'autre !
Et puis, les jours suivants, on a été à Epcot, le parc hi-tech Disney d'Orlando, et là, tout à coup, j'ai fait LA photo de Fiston avec la navette !!!
Hélas, trucage complet puisqu'il s'agit d'une maquette suspendue que l'on cadre dans un décor en arrière-plan avec son sujet entre les deux, pour obtenir un montage assez trompeur.
On se console comme on peut...
Une pensée pour Fred qui m'avait bien soutenu dans ce projet et qui donne toutes les explications sur les retards ici, puisque le lendemain de notre présence, Atlantis n'a pas décollé non plus.
Si on avait assisté au décollage, j'aurais pu sans doute faire une photo comme celle-ci.



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samedi 22 décembre 2007

La communauté FIU de Miami

Venant de Tahiti, mon oeil a été attiré par des auto-collants sur certains pare-chocs de voitures de Miami : FIU !
A Fort Lauderdale, dans un resto, une rencontre avec un astro-physicien français qui n'avait entendu parler de Tahiti qu'en quelques mots et idées dont le "fiu" (prononcer "fiou"), cette notion très locale qui, à l'instar du ALOHA hawaiien, désigne pas mal de choses, dont, essentiellement le ras-le-bol, la paresse, le fait de remettre au lendemain quelque chose que l'on pourrait faire tout de suite (pour shématiser...).
Je compte sur Quick pour apporter des précisions plus académiques sur ce mot...
Et donc, surprise de trouver ce mot sur des bumpers américains.
En fait, bien sûr, il s'agit d'autre chose : la Florida International University
C'était au début des vacances, j'avais encore l'esprit à Tahiti, et ce sticker m'avait tapé dans l'oeil, tout comme l'aurait fait le mot IAORANA ou VAHINE, planté au milieu du décor de Floride...
A part ça je suis un peu fiu de reprendre le train train quotidien et le boulot...

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Le retour du Lolo masqué


Bonjour tout le monde.
Je l'avais promis ici, et ça me démangeait : me revoilà donc à travers un autre blog, que je vais alimenter à la manière d'un journal, avec différentes rubriques aussi bien liées à l'actualité, qu'à la Polynésie, qu'à mes passions ou mes coups de coeur (voire coups de gueule, mais on va essayer de rester positif).
Je rentre de vacances avec 800 photos en souvenir de nos deux semaines en Floride et quelques jours à Los Angeles. Toi, ami lecteur, tu vas y avoir droit à des images florido-californiennes, mais pas les 800 t'inquiète !
Fiston et sa maman sont sur Paris, et j'ai retrouvé Tahiti avec la fièvre acheteuse de Noël dans les magasins, la chaude actualité politique de campagne électorale (élections territoriales fin Janvier), et je déballe doucement mes valises.
Donc juste un premier message pour vous dire que je suis content de vous retrouver (si vous trouvez le chemin de ce blog), vous mes anciens lecteurs.
C'est évidemment l'occasion de vous souhaiter un JOYEUX NOEL à tous, à vos proches, et j'illustre ce premier article par des photos de cironstance : des petites mères Noël sexy de la parade Disney à Epcot Center (Orlando, Floride) et le traditionnel père Noël COCA-COLA dont l'affiche est partout sur des panneaux géants aux U.S.A.
Merry Christmas
Iaorana i te Noera

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