vendredi 16 juillet 2010

Bougeons nous le "BEEEEEP" avec Guy jacquet !

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Hier soir, TNTV nous a bippé notre Guy Jacquet national pour ne pas choquer dans les familles à l'heure du dîner. Guy se révoltait contre la Mairie de Pirae qui laisse traîner des ordures place Tarahoi aux abords du stade Pater. Avec son franc-parler habituel, Guy Jacquet est remonté... C'est quoi cette idée d'une censure débile sous forme d'un double "beeeep" ? 
Comme si on n'avait pas pigé que c'est le mot "CUL" qui a été bippé...
"...leur coller des amendes au beeeeep"
"...se bouger le beeeeeep"
J'adore en plus quand Guy précise "...et encore je suis poli..." ! On aurait aimé connaître la version pas polie...
Censure d'autant plus débile que, d'une part le mot "cul" est très reconnaissable et ne choque plus personne, c'est même une marque de fabrique et un leit motiv chez l'éco-soldat, comme le "tout est faux" de qui vous savez, et que, d'autre part, TNTV a déjà diffusé, comme ici par exemple, des déclarations de Guy Jacquet prononçant ce mot tabutissime...
Bon allez, je vous souhaite un "beeeeeeep" de bon week-end ! 
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3 commentaires:

Albert Piti a dit…

Tout de même il n'y a pas que le cul dans la vie.
Il y a le cœur aussi…
Oui j'aime ça, le cœur, le cœur et encore le cœur.
La première chose que je regarde chez une femme : son cœur.
Un jour, je devais avoir le cœur bordé de nouilles, une veine à faire une phlébite de cheval, si vous voyez ce que je veux dire : elle avait un cœur, mais un cœur...
Je n'ai pas pu résister.
Je lui ai mis la main au cœur, je l'ai renversé cœur par-dessus tête jusqu'à lui faire tourner les sangs à coups de pompe dans le cœur.
Elle m'a dit : «Monsieur vous êtes un sans cul !»
«Pardon ?»
«Mais vous avez une pierre à la place du cul !»
«Mais je ne comprends pas.»
«Ah ben ! Votre attitude me soulève le cul !»
Ah ! J'étais sur le cœur, elle me parlait le langage du cul.
«Monsieur, permettez-moi de vous parler à cul ouvert.»
«Mais je vous en prie.»
Je me disais en moi-même : au cœur le vielle.
«N'avez-vous jamais rêvé d'une femme que vous porteriez de votre cul ?»
Ah ! J'avais envie de me taper le cœur par terre.
«Une femme que vous aimeriez de tout votre cul.»
«Vous ne seriez pas un peu cœur-cœur la praline ?»
«Mais je n'ai pas le cul à rire Monsieur !»
«Mais moi, je n'aime pas qu'on pousse au cœur Madame !»
Mais tout en échangeant des amabilités, je la regardais.
Elle était là, le cul sur la main, et moi, je commençais à me sentir le cœur entre deux chaises.
«Excusez-moi mais je ne suis pas un enfant de cul.»
Ah ! Ça m’avait échappé.
Voilà que je parlais comme elle maintenant.
«Ah ! Vous me mettez du baume au cul Monsieur. Une femme qui aurait peut être un cul à prendre. Vous ne voudrez pas en avoir le cul net ?»
Je l'écoutais la bouche en cœur de poule.
«Mais du courage Monsieur. A cul vaillant, rien d'impossible !»
«Et vous croyez qu'on pourrait s'entendre comme cœur et chemise ?»
«Mais je le crois ! Nous nous en donnerions à cul joie !»
«Mais enfin, je ne voudrais pas péter plus que mon cœur.»
«Mais enfin, mais si le cul vous en dis.»
Ah ! Je ne savais plus où donner de l'artère.
J'avais l'impression d'être tomber dans un cœur de sac, j'étais au bord de l'infarctus.
«Mais détendez-vous Monsieur. Laissez-vous aller, ayez le cul léger.»
«Ah ! Vous avez le feu au cœur !»
C'était un véritable cri du cul.
Elle me traita de bourreau des culs, de cœur béni.
Je la serrais tendrement sur mon cul.
Et nous nous sommes mélangés les pinceaux cœur et cul, à corps et à cris.
Elle m'offrait sa chair, je lui disais ma chère.
Moi qui la croyait cœur serré, mais j'avais le cul serré.
Je la buvais des yeux cœur-sec.
Elle me grignotait en susurrant «Mon petit camembert fait à cul.»
Magnifique histoire classé cœur entre deux culs à la dérive.
Elle est morte d'un arrêt du cul.
C'est pas de cœur.
Elle qui avait l'intelligence du cul.
Voilà, vous savez tout.
Ces choses là, ça vous laisse des blessures au cul qui ne se referment jamais.
Pas étonnant qu'on devienne cul d'artichaut.
Comme dit le poète : «Le cul a ses raisons que la raison ne connaît point.»
A votre bon cul Messieurs dames.

(Vincent Roca)

LOLO a dit…

Merci Albert, j'adore ce texte... ça me va droit au cul... et je trinquerai coeur-sec à ta santé pour la peine !

Anonyme a dit…

LOL ! excellent Lolo ! j'ladore ce Jacquet , je vote pour lui !