lundi 2 novembre 2009

TNTV mobile film festival

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Un mot de ce festival / concours qui est super original : ouvert à tous, il suffit de réaliser un film d'une durée d'une minute maxi avec un téléphone portable !
Tout est possible : fiction, documentaire, clip...
Il suffit d'avoir de l'imagination, et il y a des prix sympas à la clé...
Les téléphones portables les plus simples ont très souvent une fonction vidéo donc c'est à la portée du plus grand nombre et c'est très bien !
J'avais une idée de scénario, mais la difficulté c'est de trouver une centaine de figurantes nues...
Donc je vais me replier sur mon plan B...

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2 commentaires:

Poe a dit…

wouaf wouaf wouaf.... Fais donc une double opération... quelques centaines de femmes nue avec deux ballons roses (y'a un truc dans l'air en ce moment chez ton copain...)

je risque d'en être !

Pehu Oe a dit…

Juste après Haloween et juste avant la Toussain, ça craint pas un peu ?

J'ai une idée de scénario mais je ne suis pas sûr de sa nouveauté :

C'est l'histoire d'un groupe de gens qui s'organisent pour vivre ensemble. Chacun travaille en comptant sur les résultats des autres pour que le tout soit stable et équitable.

Là où ça se complique, c'est que certains boulots demandent beaucoup de temps pour des résultats longs à venir, les fa'apu quoi, alors que d'autres sont d'utilité immédiate et aussitôt oubliés dès que réalisés, genre l'entretien du fare, ou bien ceux dont le travail ne produit rien, ni à long terme, ni dans l'immédiat mais coordonne, répartit, cherche à raccourcir les distances et le temps de redistribution des fruits du travail des uns vers les autres.
Là, ça coince : C'est si facile de se servir au passage quand on est un de ces "coordinateurs".
Rapidement, on en arrive à un système où le travail des uns profite non pas à tous mais à ces parasites sociaux : Mensonges, vols, manipulations, détournements, viols, rackets, assassinats.
Le groupe ressemble de plus en plus à une structure esclavagiste, ce d'autant plus facilement que les travailleurs n'ont pas le temps de contrôler ce que font les coordinateurs. En outre, puisqu'ils n'ont pas de temps, les travailleurs chargent ces coordinateurs d'organiser les règles de répartition pour qu'elles soient équitables, ce que les autres ne font pas, évidemment.

Air de déjà vu, non ?

La question devient : Comment réorganiser le groupe pour qu'il revienne à son but de départ dans un univers de règles conçu pour qu'il n'y arrive pas par ceux qui n'ont aucun intérêt à ce qu'il y arrive puisque coordinateurs, sans passer par la case bain de sang ou la case explosion-destruction du groupe ?
Ceci tout en sachant que si cette question reste sans réponse viable alors les mécanismes de parasitisme social ne peuvent que se stabiliser et se renforcer encore plus en une spirale menant soit au despotisme, soit à une maffia-secte des plus verticales et antisociales. Les travailleurs deviennent alors un "marché", une ressource alimentaire au même titre et sans plus d'égards que n'importe quel légume ou bétail.

La séquence se termine sur une vue de l'eau de la Tipaerui devenue boue infecte charriant des ordures et des cadavres d'animaux avant de se jeter dans le lagon alors que des enfants en mauvaise santé et en guenilles errent sur ses berges de ruines au lieu d'être à l'école pendant que la question se déroule sur tout l'écran : Comment réorganiser le groupe pour qu'il ne puisse plus jamais vivre ça ?

Voilà.

>> LOLO >> J'ai cliqué sur "Publier" dans la fenêtre d'aperçu mais il me ramène en édition sans me dire que c'est pris en compte, alors je renvoie : Zappe ceci et le premier si c'est en double au final. Maururuu.