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C'est un parallèle peut-être surprenant mais, dans l'actualité locale d'hier, il n'y en avait que pour le coup de gueule présidentiel d'Oscar Temaru, qui a râlé contre l'instabilité, contre ceux qui s'amusent dans la majorité pendant que d'autres travaillent, rappelant même qu'il avait "prévenu" : si on le mettait "là-haut", à ce poste, ce n'était pas pour tout casser ensuite. Et de répéter que cela fait 5 ans d'instabilité et que ça suffit. Vraiment remonté Temaru !
On sentait qu'il aurait préféré, à cet instant, aller golfer en Nouvelle-Zélande...
Alors on est en droit de saturer avec cet éternelle dichotomie Temaru / Flosse qui gangrène la Polynésie depuis trop longtemps.
L'autre Flosse qui, face à la remontrance présidentielle, arbore un faciès mi-gâteux, mi-ahuri pour dire que "mais non je ne vois de qui il peut parler...".
Après la volée de bois vert de Jego au Sénat, il se fait à nouveau sermonner comme un débutant en quelques jours avec ce nouveau "panpan cucul" et il y a de quoi, c'est sûr, atteindre l'orgueil sénatorial...
A quand un renouvellement réel de la classe politique ?
On est impatient de voir une majorité stable faire avancer le fenua, mais une impatience chargée d'énervement et de révolte.
Heureusement qu'il y a les sourires des danseuses du groupe Tahiti Ora pour nous présenter une Polynésie jeune, positive, gaie, festive, ambitieuse et dynamique.
Et là c'est une impatience beaucoup plus pure et beaucoup plus belle, teintée d'émotions comme avant un rendez-vous amoureux ou de belles retrouvailles.
Le groupe de Tumata Robinson a présenté son spectacle HIVA en conférence de presse.
Je rappelle qu'il y aura deux soirées exceptionnelles les 3 et 4 avril donc dans quelques jours, au grand théâtre de la Maison de la Culture, avec une débauche de costumes digne d'une production de Las Vegas.
Billets en vente chez Odyssey, dépêchez-vous !
Contraste saisissant mais très subjectif, j'en conviens, sauf que, parfois, mieux vaut être sélectif dans la manière dont on reçoit les news...
On sentait qu'il aurait préféré, à cet instant, aller golfer en Nouvelle-Zélande...
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Après la volée de bois vert de Jego au Sénat, il se fait à nouveau sermonner comme un débutant en quelques jours avec ce nouveau "panpan cucul" et il y a de quoi, c'est sûr, atteindre l'orgueil sénatorial...
A quand un renouvellement réel de la classe politique ?
On est impatient de voir une majorité stable faire avancer le fenua, mais une impatience chargée d'énervement et de révolte.
Heureusement qu'il y a les sourires des danseuses du groupe Tahiti Ora pour nous présenter une Polynésie jeune, positive, gaie, festive, ambitieuse et dynamique.
Et là c'est une impatience beaucoup plus pure et beaucoup plus belle, teintée d'émotions comme avant un rendez-vous amoureux ou de belles retrouvailles.
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Contraste saisissant mais très subjectif, j'en conviens, sauf que, parfois, mieux vaut être sélectif dans la manière dont on reçoit les news...
Photos Tahitipresse
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